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Les clés pour réussir son premier investissement immobilier locatif




Publi-rédactionnel proposé par l'un de nos partenaires : Joust. La rédaction n'a pas participé à sa réalisation.

Investir dans l'immobilier locatif consiste à faire l'acquisition d'un bien immobilier, puis à le mettre en location. L'investisseur perçoit alors régulièrement des revenus complémentaires. Il peut ainsi se constituer un patrimoine, optimiser sa fiscalité et préparer sa retraite. Cet article fait le point sur les bonnes pratiques à adopter pour réussir son premier investissement immobilier locatif.

Temps de lecture : 6 minute(s) - Photo : Shutterstock  
Les clés pour réussir son premier investissement immobilier locatif

Pourquoi choisir l'immobilier locatif pour son premier investissement ?

À l'instar de l'or, l'immobilier s'établit encore aujourd'hui comme une valeur refuge. C'est un placement de choix qui permet à l'investisseur de sécuriser aussi bien son argent courant que ses économies. La pierre résiste aux fluctuations du marché ainsi qu'aux crises économiques. À long terme, elle peut faire bénéficier les investisseurs d'une rentabilité intéressante, d'autant qu'elle répond à une demande qui ne cesse de croître (nombreuses sont les communes qui sont confrontées à un déficit chronique de logements). Cela est d'autant plus vrai si l'investisseur a fait le choix d'une niche ayant un fort potentiel. Un bien immobilier entretenu soigneusement prend d'ailleurs de la valeur au fil des années et ne se déprécie pas.

L'effet levier de l'emprunt immobilier est aussi l'un des solides arguments en faveur de l'investissement locatif. De fait, les loyers que perçoit l'investisseur peuvent être mobilisés pour en rembourser une bonne partie. Le bailleur peut profiter pleinement de ses revenus locatifs mensuels, une fois l'acquisition totalement amortie. L'attractivité de l'investissement immobilier locatif s'explique également par les différents dispositifs fiscaux en vigueur en France. Ces derniers donnent droit à des avantages fiscaux pouvant optimiser la rentabilité de son placement. On compte parmi ceux-ci :

- la loi Pinel,
- le dispositif Pinel +,
- les statuts LMNP/LMP,
- la loi Denormandie,
- la loi Malraux,
- la loi Monuments historiques,
- le dispositif Loc'Avantages,
- la loi Censi-Bouvard,
- le déficit foncier, etc.
Il faut aussi savoir qu'en France, le marché immobilier se révèle actuellement très dynamique. Les taux de crédit immobilier, bien qu'en hausse, sont relativement bas et permettent à l'investisseur de financer son projet avec des conditions financières optimales. Cet investisseur a par ailleurs le choix entre une multitude de formules d'investissements, selon son profil. Enfin, la pierre est une carte maîtresse pour sa retraite : le moment venu, l'investisseur peut disposer d'un logement gratuit ou choisir de continuer à vivre au quotidien grâce à un complément de revenus.

Quoi qu'il en soit, pour réussir son premier investissement immobilier locatif, il est judicieux de se faire accompagner par un consultant expérimenté. Ce dernier construira avec l'investisseur un projet sur mesure et s'occupera de sa concrétisation de A à Z. Faire appel à ses services, c'est donc choisir la tranquillité d'esprit. Il se chargera de définir les besoins et le profil de son client, de choisir la bonne formule d'investissement, de trouver le bien idéal, de rénover et d'ameublir ce dernier le cas échéant… Le même professionnel est à même d'orienter l'investisseur vers l'expert qui saura prendre en charge la gestion locative de son bien, une fois l'achat réalisé.

À quel profil d'investisseur l'immobilier locatif est-il adapté ?

L'immobilier locatif convient à divers profils d'investisseurs. Il permet aux plus jeunes de construire progressivement leur patrimoine et de le diversifier au fil du temps. Les plus âgés peuvent en tirer parti pour préparer leur retraite. Les personnes fortement imposées peuvent aussi opter pour ce genre de placement pour optimiser leur fiscalité. Certaines personnes investissent dans l'immobilier locatif dans l'optique d'obtenir rapidement des revenus complémentaires.

On distingue généralement quatre types d'investisseurs locatifs. D'abord, les investisseurs dits "classiques" investissent sur le long terme dans le but de faire fructifier leur argent. Les investisseurs "défiscalisation" optent quant à eux pour la pierre afin de réduire au strict minimum la pression fiscale sur leur foyer. Pour ce faire, ils peuvent faire baisser directement leur impôt ou l'optimiser, voire le neutraliser. On cite par ailleurs les investisseurs "haut rendement" qui cherchent à bénéficier d'un très haut niveau de rendement en un rien de temps. En d'autres termes, ils investissent sur le court terme. Enfin, les investisseurs "patrimoniaux" ont une perspective d'investissement à long terme et veulent faire grandir leur patrimoine au fil des années.

Pour définir son profil d'investisseur, on doit prendre en considération un certain nombre de paramètres. Il faut dans un premier temps évaluer son niveau de connaissances en immobilier. Ensuite, il faut tenir compte de sa situation personnelle et professionnelle, de ses objectifs, de sensibilité au risque, de son horizon de placement, de son budget, du temps que l'on pourrait consacrer à son projet et du mode de gestion souhaité.


Comment évaluer son budget d'investissement ?


Une fois au clair avec le type d'investissement locatif qui correspond à son profil, on doit prendre le temps d'estimer son budget d'achat. C'est en effet de cette estimation en amont que tout va découler. Lors de cette étape, bon nombre de facteurs doivent entrer en ligne de compte. Il faut d'abord prêter attention à la typologie du bien que l'on veut acheter. Viennent ensuite son emplacement géographique, ses caractéristiques, sa qualité. On étudie ensuite son épargne personnelle, autrement dit l'apport que l'on doit injecter à son emprunt immobilier afin de le compléter et mettre en confiance le créancier. On peut mobiliser cet apport pour régler les taxes, les frais de notaire, les frais de dossier et la garantie nécessaire au financement.

Il y a lieu ensuite de considérer aussi bien ses revenus que son taux d'endettement actuel, tout en prévoyant les frais annexes liés à l'acquisition que l'on s'apprête à effectuer (et les frais de réhabilitation, si l'on souhaite investir dans l'ancien). On doit en parallèle se renseigner amplement sur les aides auxquelles on peut prétendre. Il ne faut pas oublier de tenir compte des dépenses découlant de l'éventuelle collaboration avec des professionnels de l'immobilier. Dans tous les cas, il est recommandé d'augmenter le plus possible son pouvoir d'achat pour mettre toutes les chances de son côté. Pour ce faire, il est judicieux d'augmenter son apport personnel, de minimiser ses charges, d'emprunter sur une plus longue durée et de comparer les offres du marché pour trouver le taux le plus compétitif.


Comment savoir où investir, et dans quel type de bien ?

Tous ceux qui veulent investir dans l'immobilier locatif doivent faire très attention au type de bien et à son emplacement. Ce sont bien entendu deux facteurs déterminants de la rentabilité de leur projet. Pour faire le bon choix, on doit prendre en considération plusieurs facteurs. On cite d'abord la demande locative, c'est-à-dire le nombre ainsi que le profil des potentiels locataires dans le secteur où l'on désire investir. Il est conseillé de privilégier les zones dynamiques, à forte attractivité et qui se révèlent intéressantes en termes de perspectives d'évolution. L'investisseur a également tout intérêt à adapter son bien au type de locataire visé : séniors, étudiants, familles, jeunes actifs…

Le rendement locatif doit par la suite entrer en ligne de compte : il varie selon les types de biens immobiliers, les quartiers, les modes de location, etc. Exprimé en pourcentage, il fait référence au montant du loyer que l'on perçoit chaque année, rapporté au coût d'achat de son bien immobilier. De fait, il permet d'évaluer la rentabilité brute de son investissement locatif : moins il est élevé, moins le placement est rentable, et vice-versa. Il est recommandé de comparer le rendement locatif avec le taux d'inflation et les intérêts d'emprunt, sans oublier de considérer les charges et les impôts liés à la location.

La plus-value potentielle est un autre paramètre auquel l'investisseur doit s'intéresser, c'est-à-dire la différence entre le coût de vente et le prix d'achat du bien. Elle dépend plus précisément de l'évolution du marché immobilier local. Il est également conseillé d'anticiper les tendances futures et les projets d'aménagement pouvant influencer la valeur du bien immobilier.

Le financement d'un investissement immobilier locatif

Le financement peut se faire par le biais d'un prêt immobilier classique. Il s'agit d'un crédit qui permet à l'emprunteur de financer dans son intégralité ou partiellement une acquisition immobilière. Ce genre d'emprunt bancaire peut également servir à concrétiser des travaux de réhabilitation d'un bien déjà acheté ou d'un projet de construction d'une habitation. C'est plus précisément un prêt à long terme qui peut être remboursé pendant une période allant jusqu'à 25 ans.

Toutefois, les banques se montrent extrêmement pointilleuses lorsqu'il est question d'emprunt immobilier et serrent de plus en plus la vis. Il est donc important d'optimiser au préalable son profil si l'on souhaite les séduire et négocier les meilleures conditions possibles pour son financement immobilier. On doit en premier lieu se constituer un apport personnel suffisant. Dans l'idéal, son montant doit correspondre à au moins 20 % du capital emprunté.

On doit également songer à gérer efficacement son épargne et réduire au strict minimum son taux d'endettement. Les rejets de prélèvement, découverts bancaires, dépenses excessives et retards de paiement sont à éviter à tout prix. L'investisseur souhaitant contracter un emprunt doit également prouver à l'établissement bancaire que ses revenus sont stables et réguliers. S'il est en CDI, cela représente un vrai atout. Le candidat a aussi tout intérêt à prouver la pertinence du projet qu'il souhaite financer et à soigner son dossier de prêt.

Hormis le crédit immobilier, il existe le crédit in fine, cet emprunt non amortissable particulièrement favorable aux investisseurs locatifs. En général, il est accordé aux meilleurs profils, tout en étant soumis à des garanties différentes.

La dernière solution qui s'offre à un investisseur est l'autofinancement. Il est alors question d'utiliser ses propres ressources financières pour financer son projet d'investissement immobilier locatif. On peut mobiliser son épargne personnelle, son épargne retraite ou ses revenus potentiels. Ce système de financement est très avantageux, dans la mesure où l'investisseur dispose d'un capital suffisant : il n'a pas à payer d'intérêts ni à souscrire une assurance emprunteur.


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