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A 7 kilomètres de Paris et à proximité du Parc de Sceaux, Chatenay-Malabry fait figure de ville-jardins dans les Hauts-de-Seine. C'est particulièrement frappant lorsque l'on regarde la multitude d'espaces verts et des parcs qui s'y trouvent. Mais les 30.000 habitants profitent également de l'attractivité de la ville et notamment des équipements culturels et sportifs. Avec des prix immobiliers raisonnables pour l'Ile de France, certains quartiers de la ville sont particulièrement intéressant pour acquérir son logement ou investir.
En limite des Yvelines et de l'Essonne, Chatenay-Malabry est entourée de villes comme Vélizy, Sceaux et son magnifique parc, Verrières le Buisson et sa forêt domaniale. Autant dire que la commune est marquée par la verdure. On compte sur son territoire le fantastique parc de la Vallée aux loups, un lieu que certains disent magique. Labellisé jardin remarquable notamment pour le parc de la Maison de Chateaubriand, où l'écrivain résida 10 ans, ses allées sont particulièrement propices à la promenade. La ville est aussi traversée par la Coulée Verte, cette voie végétalisée qui relie Paris à Massy. L'activité, notamment économique, n'est pas en reste, puisque la commune accueille plus de 800 entreprises sur son sol, ainsi que la faculté de pharmacie et l'école supérieure d'électricité Supelec. Les 30.000 châtenaisiens profitent également des équipements culturels, sportifs et scolaires (sept écoles primaires, huit écoles élémentaires, quatre collèges et trois lycées). Côté transports en commun, Chatenay-Malabry est non loin des arrêts de RER B situés sur les communes de Sceaux et d'Paris. Elle permet notamment de rejoindre Versailles, ainsi que la N118 jusqu'à Boulogne-Billancourt ou l'A6 qui s'en va vers Lyon.
Chatenay-Malabry propose des prix immobiliers plus abordables que dans les villes limitrophes du Plessis Robinson ou de Sceaux. Ceux-ci tendent plus à se rapprocher des prix des Yvelines ou de l'Essonne que de la moyenne des Hauts-de-Seine. Ceci peut en partie s'expliquer par un moindre accès aux transports en commun que dans d'autres villes. Il n'est alors pas difficile d'imaginer que la commune va progressivement prendre de la valeur, notamment grâce à l'arrivée du tramway. Forts de ce constat, les personnes souhaitant investir dans l'immobilier sont donc particulièrement intéressés par cet emplacement stratégique. La ville souffre encore de l'inégalité entre les quartiers bourgeois et les plus populaires. Des programmes immobiliers neufs sont régulièrement lancés, avec succès auprès d'une population d'accédants à la propriété et de ceux réalisant un investissement locatif. Ainsi les différents quartiers de la ville s'embellissent-ils progressivement, sans pour autant perdre leur caractère historique. Quelques maisons de ville sont également disponibles dans les quartiers pavillonnaires, notamment à quelques pas du Parc de Sceaux. La commune fait partie depuis janvier 2016, de l'établissement public territorial Vallée Sud Grand Paris. À ce titre le territoire répond à la loi NOTRe (Nouvelle Organisation Territoriale de la République) grâce aux mesures suivantes : - l'assainissement et l'eau - la gestion des déchets ménagers et assimilés - le développement économique et les actions en faveur de l'emploi - la politique de la ville la construction et l'aménagement des équipements culturels et sportifs - les moyens de transports locaux.
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Un peu d'Histoire... Le nom de Châtenay-Malabry vient du latin castanetum, qui indique la présence de châtaigniers, et du lieu-dit Malabry, déformation du mot « mal-abri », lieu de chasse battu par les vents.
Pour un achat immobilier à Châtenay-Malabry comme ailleurs, des frais d'acquisition autrement appelée « frais de notaire », s'ajoutent au prix d'achat du bien immobilier. Ils sont payés par l'acquéreur. Les taux applicables ne sont pas libres. Ils dépendent d'un barème progressif en fonction du prix d'achat du bien et de sa localisation. Avant leur achat, les particuliers peuvent estimer les frais d'acquisition grâce à l'un des simulateurs en ligne que proposent de nombreux sites Internet. La majeure partie de ces frais correspond à des impôts et taxes appelés « droits d'enregistrement ». Ceux-ci sont versés à l'État et aux collectivités locales. Le montant de ces « droits de mutation à titre onéreux » varie selon que le logement est ancien ou neuf. Pour un logement ancien, il correspond au maximum à 5,80 % du prix de vente (dont 1,2 % revient à la commune, et le reste est réparti entre le département et l'État). Pour les logements neufs (c'est-à-dire construits depuis moins de cinq ans), les droits de mutation à titre onéreux sont moins élevés. Ils sont limités à 0,71 % du prix de vente hors TVA. Une petite partie des « frais de notaire » revient effectivement au notaire. Elle couvre les frais qu'il a engagés pour établir l'acte de vente (conservation des hypothèques, frais de publication de la vente, extrait de cadastre…) ainsi que sa rémunération, également appelée « émoluments ».
