Sortie le 7 novembre
Continuer avec Google
Continuer avec Facebook
Continuer avec Apple
La modélisation numérique s'est peu à peu imposée dans l'immobilier neuf, permettant à l'acquéreur de se projeter dans son futur logement de façon toujours plus précise. Le salon Batimat nous a permis de tester 2 nouveautés appliquant la réalité virtuelle à ce secteur en pleine évolution.
Traditionnellement, la vente d'un logement neuf s'effectue « sur plans ». Le client peut se projeter dans le logement qu'il va acheter grâce à des illustrations réalisées par des graphistes à partir des plans de la résidence, les fameuses « perspectives ». Le plus souvent, les promoteurs présentent les façades de l'immeuble et parfois certaines vues intérieures sur leur plaquette commerâciale. D'autres techniques numériques plus ou moins récentes permettent de présenter les futures résidences sous toutes les coutures : clips et films, maquettes virtuelles ou plans de vente en 3D sont maintenant accessibles depuis n'importe quel ordinateur ou tablette. Beaucoup de sociétés se sont spécialisées dans la création de ce type d'outils. Mais l'évolution technologique va toujours plus vite, et de nouveaux outils font leur apparition.
Le salon Batimat 2015 nous a permis de tester 2 nouveautés, qui nous font franchir le pas de l'immersion virtuelle appliquée à l'immobilier neuf. - Première technologie : les lunettes 3D. Après avoir chaussé une paire de lunettes il suffit de se déplacer et de tourner la tête pour pouvoir se promener dans le bien immobilier, comme s'y on y était. - Le casque de réalité virtuelle : c'est muni d'un casque et en se dirigeant dans la résidence virtuelle à l'aide d'une manette, que l'on plonge dans sa future résidence comme dans un jeu vidéo. Ces deux technologies sont très intéressantes pour les clients comme pour les professionnels de l'immobilier neuf et prouvent encore une fois que le secteur immobilier est en pleine révolution numérique.
Rejoignez la communauté Idéal investisseur ! Je m'inscris
Néanmoins, certains freins s'imposent encore aux promoteurs. Le premier d'entre eux étant le coût de ces technologies, puisque chaque programme nécessite une modélisation 3D complète. Or, pour obâtenir une qualité d'image suffisante, la création graphique nécessite beaucoup de travail et induit un budget et un délai de réalisation importants.
