#1 Choisir sa plateforme de crowdfunding en fonction du projet
Bonne nouvelle pour commencer : avec un marché français très dynamique (collecte 2022 – crowdfunding 2,35 Mds € /+25% vs 2021) cette classe d'actifs attire de plus en plus d'épargnants. Ce marché ayant gagné en maturité, il propose désormais une large gamme de solutions : comment s'y retrouver et bien choisir parmi toutes ces offres ? Certaines plateformes de crowdfunding sont généralistes (financement d'entreprises et financement d'opérateurs immobiliers), d'autres se concentreront dans des niches sectorielles, telles que l'économie d'impact, ou feront le choix de la diversification géographique dans les grands bassins d'emplois français et européens. Vérifiez la politique d'investissement de chacune des plateformes et choisissez celle qui répond le mieux à vos attentes, qu'elles soient d'ordre purement financier ou plus largement en fonction du sens que vous souhaitez donner à vos investissements (éthique, développement durable, accompagnement…). Investissements en crowdfunding : Découvrez les projets immobiliers ouverts chez Finple
Si vous lisez ces quelques lignes, c'est que vous êtes (sans doute) déjà impliqués dans d'autres investissements. La question des frais, vous le savez mieux que quiconque, est cruciale. Chaque plateforme de crowdfunding a ses propres tarifs qui peuvent varier considérablement. Étudiez, pour chacune d'entre elles, les frais de transaction appliqués, les frais d'inscription et les frais de gestion éventuels. Cela vous évitera de mauvaises surprises par la suite.
Dans les investissements, comme en amitié, on aime en général s'entourer d'amis fiables qui ne nous feront pas faux bon à la première tempête. Veillez à rechercher des plateformes de crowdfunding qui ont des témoignages favorables sur le web ou dans la presse spécialisée. Petit conseil : privilégiez dans votre sélection les
plateformes récompensées par le marché ! Toutefois, en crowdfunding, l'ancienneté n'est pas encore forcément un gage de pérennité puisque la matière est encore relativement récente. Certaines d'entre elles sont néanmoins adossées à des groupes importants qui apportent des gages de solidité évidents. Vérifiez ce point ! Crowdfunding : Découvrez la plateforme Finple
Si vous êtes comme nous, vous n'aimez sans doute pas les longues musiques d'attente au piano lorsque vous avez une question à poser au service client. Là encore, le diable peut se cacher dans les détails. Nous vous invitons à bien vérifier ce point avant de signer chez un intermédiaire. Par ailleurs, certaines plateformes de crowdfunding offrent des services supplémentaires et d'excellents outils pour vous aider à atteindre vos objectifs. Quoi qu'il en soit, n'hésitez pas à discuter avec les représentants de différentes plateformes pour comprendre leurs services et comment ils peuvent vous aider à réussir vos investissements immobiliers. N'oubliez pas qu'on parle de votre épargne ! Il est essentiel de rester bien entouré et bien accompagné.
Commentaires (2)
Vous avez parfaitement raison, Édouard M.. Il était très tard et je ne me suis pas relu. Au temps pour moi.
J'ai aussi noté en me relisant rapidement grâce à votre juste commentaire dont je vous remercie, deux virgules signifiantes oubliées (et non pas "deus").
Mais fautes, c'est à dire régulières telle l'absence systématique du "ne" comme c'est devenu, maintenant, une quasi "norme", ne sont pas à confondre avec "lapsus calami", qui sont de simples étourderies. Et je ne confonds pas les unes et les autres.
Comme la différence entre un locataire qui, un jour, a une difficulté passagère pour payer son loyer, et celui qui, de façon systématique ne paie pas, ou paye systématiquement avec un retard très important.
Ce ne sont pas des choses ou des erreurs de même nature.
Il est vrai que, vu l'objet du texte de mon commentaire, il aurait dû être irréprochable, et sans aucune erreur, tant faute que même lapsus calami comme le sont les erreurs, manifestes, que vous y avez relevées.
Je lis, dans un gros titre : "Choisir une plateforme avec une réputation sans tâche ?" Donc une réputation sans devoir et sans obligation ?
Ou bien voulez-vous dire sans tache ? sans chose qui la dépare, ou amoindrit sa valeur.
Dans un autre article de 2011, révisé en 2013, j'ai lu : "les Français risques de..." qu'est-ce que le risque accolé à un Français. N'était-ce pas plutôt "les Français risquent"
Deus simples exemples trouvés par hasard en feuilletant pendant quelques minutes et en lisant en diagonale, donc en loupant probablement bien d'autres fautes.
Quelle confiance accorder à un tel site, quand un texte juridique doit être absolument irréprochable concernant la rédaction. Même, et bien sûr, nombre d'incultes se gausseront "du sale con que je suis" de faire remarquer de telles bévues et fautes grammaticales, que je ne confond pas avec de simples et excusables lapsus calami, n'en déplaise à certains. En effet, extrêmement mal formé par l'école publique qui n'a cessé de baisser le niveau d'exigence dans les matières de base, dont le français, pour la connaissance des règles et du sens des mots, allant de pair avec une volonté délibérée de baisser d'année en année l'apprentissage du raisonnement dans les programmes de mathématiques, et donc de la formation à l'esprit critique (j'ai, époux d'une enseignante constaté cela dans la lecture des programmes, c'est hélas la stricte vérité), je peux admettre que le rédacteur ait souffert de cela, mais, lorsqu'on se professionnalise, on doit devenir parfait. Admettriez-vous qu'un ingénieur mal formé fasse des erreurs dans les calculs d'un avion, et que ce type d'avion ait bien plus d'accidents qu'avant ? Et vous diriez donc, ce n'est pas bien grave, aucun besoin de rigueur, il ne faut pas lui en vouloir, il est bien normal qu'il fasse des erreurs de calculs. C'est la même chose, strictement et exactement pour le français. Le français, avec un f minuscule c'est la langue française, et le Français, avec une majuscule, c'est quelqu'un de nationalité française, une personne française. Différence de sens et différence d'écriture. Je vais prendre deux exemples de l'importance extrême que dit avoir la qualité de l'expression et des façons, tant d'écrire que de parler. La ponctuation, beaucoup en riront et se moqueront de moi, mais je n'en ai cure, mais une virgule mal placée ou absente peut changer y compris dans une phrase parlée complètement le sens et avoir, dans un cas un sens anodin, et dans l'autre un sens tragique :
1-. "le père, accompagné de sa femme et de leur petite fille et de leur petit garçon dit : "Allons-manger, grand-mère !"" ou
2-. "le père, accompagné de sa femme et de leur petite fille et de leur petit garçon dit : "Allons-manger grand-mère !""
Le premier cas est un dîner convivial où trois générations vont partager un repas commun tous ensemble
Le deuxième cas est une invitation de deux générations anthropophagiques qui vont déguster un vieille (peut-être) femme qui est la grand-mère.
Cela n'est donc pas du tout de même nature.
Autre exemple, qui peut-être parfois dramatique (j'ai vécu ce cas), mais je vais citer un exemple très anodin. On a complètement oublié, tant à l'oral mais aussi à l'écrit, et c'est là que cela peut devenir grave, que la marque de la négation est essentiellement le mot "ne", que personne, ou presque, ne prononce plus jamais mais surtout et très fautivement n'écrit plus non plus. Et tout particulièrement avec "plus", ce qui donne parfois des contresens complet.
Quelqu'un voulant dire qu'il est mécontent parce qu'il adore les fraises et que le saladier et vide pourra donc écrire (car il écrira comme on l'entend régulièrement "Il y a plus de fraises !", alors qu'il aurait dû écrire "Il n'y a plus de fraises"
Le même, qui les adore, voyant un saladier contenant une quantité plus importante de fraises que quelques instants avant dira aussi "Il y a plus de fraises !" cette fois de façon correcte. Ainsi, de très nombreuses fois et souvent malgré le contexte, on ne sait plus du tout ce que signifie le terme plus, car on est devenu incapable de comprendre une phrase écrite.
Mais le juge, ne voyant que ce qui est écrit, ne peut pas interpréter autrement quand il voit "plus" sans la négation "ne", que par une quantité augmentée, et non par moins. Le cas est vécu car un mécanicien sur un avion qui avait des pannes, a écrit : "on a fait les tests et on a constaté qu'il y avait plus de pannes", ce qui signifie donc que le nombre de pannes avait augmenté, ou au contraire qu'il n'y en avait plus du tout. Supposons qu'un équipage "pense qu'il avait voulu dire qu'il n'y avait plus aucune panne, et que l'avion ait un accident ? Que dirait le juge ?
Voilà une petite réflexion générale sur des réflexions sur l'importance d'un français correct, sans fautes, inexcusables pour les professionnels que sont les juristes et autres journalistes qui ne cessent de faire des barbarismes à longueur de journée.
Cette constatation ne me donne, hélas, pas grande confiance dans un site bourré, probablement de fautes bien grossières, et je ne fais donc pas grande confiance aux analyses et aux textes juridiques qui peuvent donc y être pondus.
Il semble qu'ici le français risque fort, par de si évidentes fautes de grammaire, de n'avoir que bien peu de sens. Et qu'en sera-t-il dans les textes juridiques avec un tel sabir, incompréhensible
Dernier point, pour les critiques qui me diront que je suis exigeant, mais seuls les meilleurs et les plus rigoureux subsisteront, j'ai, sur le site de l'INA, écouté une interview par un journaliste de quelqu'un d'extraction extrêmement modeste, artisan d'un "petit" métier. Cela datait aux alentour de 1920, et je peux vous dire que la qualité de l'expression, la grammaire, la diction, malgré l'accent, les liaisons entre les mots, si importantes pour une bonne orthographe, la prononciation et la richesse du vocabulaire étaient extraordinairement riches, permettant toutes les nuances de raisonnement et de pensée possibles, bien contrairement aux borborygmes qu'on entend aujourd'hui avec une pauvreté épouvantable de vocabulaire, des discours et des pensées incohérents, des liaisons non faites ou mal à propos, des élisions à tort, et d'autres non faites, en raison d'une nullité quasi totale. Quelle tristesse et quelle perte incomparable de toute finesse de pensée, c'est affligeant, l'abîme dans laquelle la France se précipite et est précipitée, en particulier par tous les pseudo-pédagogues et les démagogues l'ayant sabotée et la sabotant encore et de plus en plus. Car, au lieu de tirer vers le haut et la connaissance pour le plus grand nombre, on la détruit par le nivellement par le bas, ce qui démontre d'ailleurs, et c'est bien pire encore venant de la gauche qu'ils n'ont en réalité que du mépris pour les "petites gens". En effet, leur baisse du niveau dans leur raisonnement est dû à ce qu'ils pensent que ce sera trop difficile pour eux d'apprendre, donc que ce sont des incapables. Et ce n'est évidemment pas vrai § N'importe quel enfant chez des Chinois, apprendra le chinois, idem en France, au pays Navajo, dans n'importe quel pays. Ce présupposé, dirai-je de façon provocatrice d'imbécillité, démontre qu'ils ne pensent pas qu'ils puissent s'en sortir. Et baisser le niveau au lieu de leur apprendre le maximum avec une grande exigence et un raisonnement rigoureux est un vrai sabotage de la nation, car il y a, partout et dans toutes les classes sociales de grands talents et donc là-aussi, des talents dont le pays a besoin, et qu'on enfonce au lieu de les faire éclore. Sabotage et haute trahison. Si on le faisait comme il faut, on verrai grandement remonter l'ascenseur social, et il y aurait une bien plus grande proportions d'enfants d'ouvrier ou de "petits métiers" reçus au concours de Polytechnique.
Votre commentaire me fait rire
"Deus simples exemples" -> Ne serait-ce pas "DEUX" simples exemples ?
"Cela datait aux alentour de 1920" -> aux alentours
" que je ne confond pas avec" -> confondS
"Si on le faisait comme il faut, on verrai grandement remonter"-> ont verrait
Etc.
Comme quoi... Quel crédit accorder à un commentaire bourré de fautes ?
Quand on veut monter au cocotier, mieux vaut s'assurer d'avoir les fesses propres.