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Sommaire : 1. Présentation de la plateforme de courtage2. Supports d’investissement et enveloppes disponibles 3. Frais de ETORO 4. Fonctionnalités / design de la plateforme 5. Service clients 6. Fiabilité et sécurité de ETORO 7. Comment investir sur ETORO ?
Etoro est une plateforme de trading lancée en 2007 par 3 entrepreneurs en Israël. Elle s'est ensuite rapidement tournée vers l'international. Aujourd'hui, elle revendique près de 30 millions d'utilisateurs dans 140 pays. Etoro développe une politique commerciale « grand public ». La plateforme indique vouloir rendre l'investissement accessible est plus facile. Ce positionnement est notamment visible dans la facilité d'utilisation des outils d'investissement et son caractère « social ». Les investisseurs peuvent échanger sur leur stratégie en participant au « social trading ». Ils disposent d'une page équivalente à celle d'un réseau social sur laquelle ils peuvent partager leurs stratégies d'investissement avec les autres inscrits : portefeuille, performances, avis sur les valeurs... Chacun peut y interagir. La particularité du courtier est de mettre à disposition un service de « Copy Trading » : il est possible de reproduire en un clic le portefeuille d'un investisseur choisi. Les investissements de l'Internaute suivent alors toutes les évolutions du portefeuille cible. Etoro est donc une excellente plateforme de partage. Toutefois, l'étendue des titres dans lesquels les particuliers peuvent investir est limitée. La plateforme propose notamment des actions américaines, des ETF (fonds indiciels), des cryptomonnaies mais peu d'actifs « traditionnels ». On ne trouve par exemple pas de fonds d'investissement de type OPCVM (SICAV, FCP...), d'OPCI etc. À l'inverse, Etoro s'oriente massivement vers les « CFD », des produits dérivés complexes dans lesquels l'investissement est très risqué et souvent déconseillé aux non-initiés. Une dissonance donc, avec sa politique « grand public ». Il faut savoir que tous les échanges sont réalisés en dollars : versements et les retraits subissent donc des frais de change de 0,50%, ce qui n'est pas négligeable. Un élément marquant dans une politique de frais elle aussi assez complexe et peu lisible. Enfin, si les commentaires des Internautes sur la plateforme sont en général positifs, il faut noter que certains clients Etoro font part de certaines difficultés au moment de clôturer leur compte.
Les particuliers pourront investir uniquement au travers d’un compte titres (CTO) libellé en dollars. Ce qui implique automatiquement des frais de change de 0,50% pour tout versement en euros. Etoro propose près de 5000 titres en direct (Actions et ETF) ainsi que 49 devises (Forex), des contrats CFD et des cryptomonnaies. Les particuliers visant des OPCVM (des fonds d’investissement classiques de type SICAV ou FCP) ou des obligations ne trouveront pas leur bonheur ici. Même chose pour les investisseurs plus expérimentés qui cherchent des options, futures, warrants, turbos, etc. Des actions classiques (surtout américaines) Etoro propose un large panel d’actions sur 17 places boursières. On y trouve beaucoup d’actions américaines mais peu d’européennes ou de Françaises (dont l’opportunité d’investissement depuis Etoro reste relative, puisque toutes les opérations sont effectuées en dollars et soumises aux frais de change). Des actions fractionnées La plateforme propose d’investir dans des actions fractionnées, c’est-à-dire des parts d’actions. Celles-ci permettent d’accéder à des titres au prix élevé. La fraction d’action est comme une propriété partagée de titres financiers. C'est Etoro qui détient les actions pour le compte de ses clients. Le cas échéant, le dividende est partagé entre tous les "copropriétaires", mais ceux-ci ne bénéficient pas de droit de vote. Il faut garder en tête que ces fractions d’actions engendrent le même risque financier que les actions en pleine propriété, et qu’à cela s’ajoute le fait que l’investisseur ne peut pas disposer du titre librement : par exemple, il n’est pas possible de transférer les fractions d’actions chez un autre courtier. Des ETF (trackers) Les fonds indiciels, également nommés ETF, ont un succès croissant auprès des investisseurs particuliers. Il s’agit de fonds d’investissement réputés pour leurs frais bas, et destinés à reproduire les performances d’un indice boursier ou d’un secteur. Pour cela, ils achètent l’exact panier d’actions qui composent l’indice de référence et dans les mêmes proportions. Leur valeur suit donc les mêmes fluctuations, à la hausse comme à la baisse. Chez Etoro, les particuliers trouvent un peu moins de 300 fonds indiciels, avec une large représentation des sociétés de gestion iShares et Vanguard. Des fournisseurs qui figurent parmi les spécialistes mondiaux en la matière. CFD (Contrat for Difference) La plateforme propose également d’investir dans une série de CFD. À en croire la variété des types de sous-jacents disponibles (et sa politique de frais), c’est même l’une de ses activités principales. Or, ce sujet n’est pas sans poser question : il s'agit de produits d’investissement complexes et très risqués qui s’adressent normalement à un public averti. Comme l’indique le bandeau légal d’avertissement sur les risques visibles en haut du site, 74% des investisseurs particuliers ont subi des pertes avec les CFD sur la plateforme. Les CFD sont des produits dérivés dont l’objectif est de « parier sur les variations à la hausse ou à la baisse d’un “actif sous-jacent“ sans jamais le détenir », selon la définition de l’Autorité des Marchés Financiers. Ce sont des produits de très court terme, viables durant une journée ou quelques jours au maximum. L’actif « sous-jacent » peut être de différente nature. Etoro propose par exemple des CFD sur des devises (Forex), des actions, des cryptomonnaies ou des matières premières : on y retrouve l’or, l’argent, le platine, le pétrole les céréales, le nickel, l’aluminium, le zinc et même le jus d’orange et l’huile de soja. Rappelez-vous bien que si vous investissez, vous ne détenez pas l’actif. Les CFD sont proposés avec un « effet de levier » : les investisseurs peuvent les acheter à « crédit » pour espérer démultiplier leurs gains. Le problème, c’est qu’ils démultiplient aussi le risque de pertes, qui peut être plus élevé que l’investissement initial. Même si Etoro indique protéger contre les soldes négatifs (nous n’avons pas testé en pratique), renseignez-vous bien avant d’investir. Sur Etoro, l’effet de levier maximum va de 2 à 30 selon les sous-jacents. Les CFD sur cryptomonnaies peuvent être acquis avec un effet de levier de 2, les devises sur le Forex vont jusqu’à 30, les actions jusqu’à 5. Des cryptomonnaies Depuis 2022, Etoro s’est enregistré comme PSAN auprès de l'AMF (prestataire de services sur actifs numériques). En clair, la plateforme a le droit de proposer d’investir dans des cryptomonnaies. Précédemment, elle ne proposait que des CFD en la matière, ce qui fait que les investisseurs ne détenaient pas les cryptos. Les investisseurs peuvent aujourd’hui miser sur plus de 60 cryptomonnaies, au premier rang desquels les plus connues comme le Bitcoin ou l’Ethereum.
Des frais de change systématiques, mais peu de frais récurrents Point positif, il n’y a ni frais d’ouverture, ni frais de garde, ni frais de tenue de compte. Cependant toute inactivité au-delà de 12 mois est facturée 10 euros. Par inactivité, la plateforme entend l’absence de connexion. Ainsi, si vous détenez un portefeuille actif chez Etoro mais que vous ne vous connectez pas, il est possible que vous deviez payer la facture. La plateforme ne facture pas de frais d’abonnement pour les cours de bourse en temps réel. Il n’y a pas non plus de frais de clôture, mais il faut aussi noter que le transfert d’un portefeuille ouvert chez Etoro vers un autre courtier n’est pas possible. Il faut donc revendre tous ses titres en cas de départ. Autre sujet important pour les investisseurs européens : les frais de change obligatoires. Sur Etoro, l’intégralité des activités de trading est en effet réalisée en dollars. Ainsi, chaque fois qu’un compte est approvisionné en euros, que ce soit par virement ou carte bancaire, les fonds sont convertis en dollars. L’opération est soumise à des frais de change de 0,5% du montant déposé. Il en va de même pour les sommes sorties d’un compte Etoro, qui sont alors converties en euros. Point important : les virements sortants sont facturés 5 euros. O% de commission sur les actions, mais... Du côté des actions, Etoro vante « 0% de commission ». Certes, il n’y a pas, à proprement parler de commission de courtage. Mais la plateforme se rémunère tout de même sur le « spread ». Le spread correspond à l’écart entre le prix d’achat et le prix de vente d’un titre financier. Il est déterminé par le marché. Il faut savoir que Etoro le prélève systématiquement en tant que rémunération, ce qui est invisible pour l’investisseur mais reste toutefois une facturation. Comme la plateforme l’indique elle-même dans le document relatif à ses frais (uniquement disponible en anglais), si le prix d’achat (ASK) d’une action est de 125,02 dollars et le prix de vente (BID) est de 125 dollars, le spread est de 0,02. Si l’investisseur achète 10 actions, la plateforme prélève alors 10 x 0,02 = 0,20 dollars. La rémunération sur le spread semble rester raisonnable et la pratique est assez courante chez les courtiers. Mais elle soulève toutefois des questions quant à la transparence de la plateforme qui affiche "0% de commission sur les actions". Frais sur les CFD La politique de frais sur les CFD est complexe et dépend du sous-jacent. Là encore, cela pose la question de l’adéquation entre la communication axée grand public et ces produits qui restent risqués et plutôt déconseillés aux personnes non averties. Pour les matières premières, les indices et les devises, les frais sont constitués du spread (différence entre le prix d’achat et le prix de vente) et des éventuels frais « overnight », c’est-à-dire des frais de crédit si la position reste ouverte après les heures de bourse. En la matière, on ne peut pas dire que l’information soit très simple à trouver : le mode de calcul dépend du sous-jacent, d’autres taux... le tout en anglais. Pour les CFD sur les actions ou les ETF, le tarif est calculé sur le spread. Pour les CFD hors USA et les CFD américains dont le prix est supérieur à 3 dollars, le taux de 0,15%. Des frais « overnight » peuvent aussi s’ajouter pour des positions pendantes en cours en dehors des heures de bourse. Dans ce cas, le taux est de 2,9%+LIBOR à la vente et 6,4%+LIBOR pour l’achat. Notez que les frais overnight peuvent être triplés si les positions sont ouvertes le vendredi soir. Autres frais Les frais sur le trading de cryptomonnaies sont constitués des spreads (différence entre le prix d’achat et le prix de vente). La souscription au service CopyTrader est gratuite. Les frais s’appliquent de façon normale pour tous les achats et ventes d’actifs réalisés automatiquement en fonction des évolutions du portefeuille cible.
NB : Les frais peuvent avoir un impact plus ou moins important sur vos investissements. Le tableau est donné ici à titre indicatif et les différents frais peuvent être modifiés à tout moment par la plateforme. Reportez-vous aux conditions en vigueur téléchargeables sur le site de ETORO.
La plateforme, qui existe également en version sur Android, iPhone, et Windows Phone, est agréable et plutôt simple à utiliser. Les personnes inscrites peuvent accéder aux cours en temps réel sans avoir à souscrire un abonnement, ce qui est plutôt positif. Les outils d’analyse technique et graphique sont présents. On y trouve des séries d’indicateurs importants (moyennes mobiles, indicateurs ESG...). Ils permettent d’accéder très simplement à l’information, mais les experts y trouveront quelques limites (par exemple, le carnet d’ordre n’est pas disponible). Mais les fonctionnalités qui permettent de rechercher un titre ne sont pas très pratiques. Si les éléments graphiques sont clairs, l’on regrette le manque de documents d’investissement qui permettent de prendre le recul nécessaire pour savoir exactement dans quoi l’on investit. Les frais de gestion pratiqués par chaque entité sont également compliqués à obtenir. Mieux vaut donc arriver sur etoro en sachant exactement ce que l’on cherche. Les investisseurs peuvent passer des ordres au marché (option sélectionnée par défaut), et à cours limité. Il est aussi possible de programmer des seuils de revente, que ce soit à la baisse ou à la hausse. Cette option est d'ailleurs automatique : attention à bien modifier les seuils ou à les supprimer si l’objectif est plutôt de conserver les titres à long terme. Sans quoi il peut y avoir quelques surprises. Sur Etoro, les investisseurs ont accès à un compte de démo doté de 100.000 dollars fictifs. C’est un point très positif pour se faire la main sur la plateforme ou tester ses idées de trading. Il n’y a pas de possibilité de transférer des positions ouvertes à un autre courtier, ce qui peut être pénalisant, puisque toute sortie nécessite de vendre ses positions. Le client est quelque part un peu captif. Social trading et le service « CopyTrader » Le « social trading » est la fonctionnalité phare de Etoro. Les investisseurs disposent d’une page, à mi-chemin entre le blog et le réseau social, sur lesquels ils peuvent publier leur portefeuille (et ses performances), leurs stratégies et analyses etc. Les Internautes peuvent chercher des portefeuilles qui correspondent à leurs objectifs selon plusieurs critères comme le degré de risque, l’horizon d’investissement, les types d’actifs, les performances, les thématiques... Il est aussi possible de regrouper plusieurs portefeuilles. Si tout n’est pas bon à prendre, certains traders amateurs d’excellentes analyses à découvrir. L’ensemble est participatif, mais mieux vaut parler anglais car la plupart des échanges se font dans cette langue. Les Internautes peuvent ainsi interagir via des commentaires, suivre certaines personnes et même copier automatiquement leur portefeuille grâce au service de « CopyTrader ». Un simple clic permet de copier la stratégie de l'investisseur sélectionné. Évidemment, sans garantie d’atteindre des performances équivalentes à ses performances passées : personne ne peut garantir l’évolution des marchés financiers et tout investissement génère un risque. Le service de copy trading n’est pas facturé. Lorsqu’un portefeuille est répliqué, l’ensemble de ses mouvements le sont aussi. Les frais afférents sont donc appliqués à chaque transaction.
Les avis rencontrés sur Internet au sujet de Etoro sont plutôt positifs dans l’ensemble. La plateforme affiche une note de 4,4/5 sur Trustpilot pour 20.000 avis. Néanmoins le peu d’avis intermédiaire est frappant : soit les utilisateurs donnent 5 étoiles, soit 1 seule. Certaines personnes indiquent une grande réactivité des gestionnaires de compte, des conseils et le suivi régulier des professionnels (notons à cet égard qu'en tant que courtier, Etoro ne délivre pas de conseils d'investissement). Mais la récupération des comptes et la clôture semblent plus compliquées, avec des délais longs et un service client qualifié de "peu réactif" dans certains témoignages, voire difficile à joindre même si le site affiche une disponibilité 24/24 du lundi à vendredi. Un certain nombre de bugs sont aussi pointés, ce qui peut être ennuyeux lorsque les Internautes souhaitent acheter ou vendre des valeurs à très court terme.
La connexion à la plateforme est sécurisée grâce à une authentification forte. Il n’y a donc a priori pas de problème de ce côté-là. Etoro est réglementée par la FCA (autorité financière du Royaume-Uni), l’ASIC (Autorité financière australienne) et la CySEC (autorité financière de Chypre). Elle est donc bien autorisée à exercer son activité en Europe. Elle est aussi enregistrée en France auprès de l’ACPR (mais non régulée) et en tant que PSAN auprès de l’Autorité des Marchés Financiers ce qui l’autorise à traiter des échanges de cryptomonnaies. Toutefois, si les conditions générales indiquent que les fonds des clients sont bien séparés de ceux de la plateforme, l'identité et le pays du dépositaire sont inconnus. La plateforme indique seulement que ceux-ci peuvent être déposés en Europe comme ailleurs. Le fait que la plateforme soit réglementée à Chypre pour ses activités européennes ne donne toutefois pas forcément une image très positive. Selon l’Autorité des Marchés Financiers, 60 % des réclamations et des pertes financières déclarées concernent des acteurs établis dans ce pays. « Or, lorsqu’un opérateur est basé à Chypre, l’épargnant a peu de possibilités de recours. L’AMF peut entamer une médiation, à condition seulement que le broker soit agréé et... qu’il l’accepte. Le régulateur ne peut contrôler ou sanctionner un courtier étranger. Reste alors à l’internaute à se tourner vers le gendarme boursier chypriote », explique l’institution. Pour répondre aux craintes de certains investisseurs concernant l’absence de garantie des fonds en cas de faillite ou de problème de la plateforme (ce qui est le cas pour les courtiers établis par exemple en France ou en Allemagne), celle-ci a souscrit une assurance auprès de la Llyods (il s’agit ici du risque sur les dépôts d’argent ou de séquestration des titres, la valeur des titres n’étant absolument pas garantie comme chez n’importe quel courtier). Chaque investisseur est ainsi censé bénéficier d’une garantie allant jusqu’à 1 million d’euros sur ses dépôts, en parallèle des 20.000 euros sur la valeur des titres via l’ICF (hors cryptomonnaies). Mais dans la réalité, il est probable que tout ne serait pas aussi rose en cas de problème. La plateforme est très internationale : société israélienne, régulée à Chypre et donc soumise à cette autorité, compagnie d’assurances britannique... Un éventuel litige serait d’envergure internationale et mobiliserait des équipes juridiques dans au moins 4 pays, à supposer que les clients soient français. La situation serait donc extrêmement complexe : la médiation très limitée voire impossible et les voies de recours peu nombreuses. Enfin, la plateforme manque de transparence sur les frais réels et met en avant des produits très complexes pour les non-initiés, par ailleurs extrêmement risqués (CFD), ce qui semble très loin de son positionnement « grand public ». Pour investir sereinement, mieux vaut commencer par un portefeuille très classique chez un courtier à la politique commerciale moins tapageuse, quitte à payer des frais un peu plus importants.
L’inscription sur Etoro est gratuite et s’effectue uniquement en ligne. Les fonds sont à transférer par virement, carte bancaire (hors American Express). Le portefeuille peut aussi être alimenté par d’autres méthodes comme PayPal. Le premier versement à effectuer est au minimum de 50 €. Il est possible de passer des ordres ou d’utiliser le compte de démo mis à disposition dans la foulée de l'inscription. Attention car les montants versés sont convertis immédiatement en dollars, ce qui génère des frais de change de 0,5 %. Si vous achetez des actions américaines c’est opportun, mais si l’objectif est de miser sur des valeurs européennes mieux vaut réfléchir. Les opérations sont effectuées depuis un compte titres ou un compte CFD. La plateforme n’étant pas française et n’ayant pas de licence bancaire dans le pays, il n’est pas possible d’opter pour un PEA où un PEA-PME. Le solde du compte Etoro donne accès à certains privilèges à partir d’un certain seuil. Au-dessus de 5000 €, les membres sont considérés comme « Silver », les particuliers ont accès un conseiller dédié. À partir de 25 000 € c’est l’offre Platinum, qui permet de s’affranchir des frais de retrait et d’obtenir des frais de change réduits.
Avis sur DEGIRO Avis sur XTB Avis sur IG
Les gains réalisés en bourse (actions, obligations, SICAV, ETF...) ou sur le marché des cryptomonnaies (bitcoin, ethereum...) sont soumis à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux. Pour effectuer la déclaration, vous devez vous munir de l’imprimé fiscal unique (IFU) envoyé par la banque ou le courtier et vous rendre sur le site des impôts. Les plus-values générées dans le cadre d’un compte titres ordinaire (CTO) ou d’un PEA de moins de 8 ans sont imposées au taux de 17,2% au titre des prélèvements sociaux et au barème progressif de l’impôt sur le revenu. Dans certains cas, il est possible de bénéficier d’un abattement pour durée de détention. Les particuliers peuvent aussi opter pour le prélèvement forfaitaire unique au taux de 30%.
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